Maintenant que j’y pense, oui, un problème avec le temps j’ai (la grammaire aussi mais plus tard, s’il te plaît, chaque chose, tout ça). Ne s’agirait pas de l’arrêter, non. Ni de le capter, de l’empêcher de filer, quoique. Pas question de prise, d’emprise. Mais question de lui et de moi. On s’entend si bien parfois, lui et moi, ça coule de source. Il est vert et brun avec de l’ocre et de la rouille parfois, oui il ressemble à un jardin, parole. Les oiseaux viennent s’attarder quelques minutes avant de reprendre leur vie ailée. Et puis d’un seul coup, l’extérieur et patatras, adieu, le temps, à bientôt, hein ? Tu reviendras, dis ? Le temps et moi, quelle histoire.