À chaque fois que je croise un dalmatien – ce qui n’est pas si fréquent – j’ai l’impression de vivre dans un dessin animé. Qui finit bien.
À chaque fois que je croise un dalmatien – ce qui n’est pas si fréquent – j’ai l’impression de vivre dans un dessin animé. Qui finit bien.
Je retrouvais parfois des crottes de souris dans la maison de Kyoto. Ça faisait partie du quotidien.
Un jour, une pomme avait été grignotée, un bon tiers. Plus tard, j’avisai un furet sur le balcon. Le lendemain, il dédaigna l’orange que je lui avais laissée en offrande sur la table de la cuisine, exactement au même endroit que la pomme. De minuscules pelures orangées abandonnées deçà delà signalaient qu’il avait essayé mais que franchement, entre nous, c’était répugnant.
Quand j’ai logé chez Ryotaro cet automne, il n’ y avait pas moins de quatre chats. Adieu souris, adieu furets.
Quoi ?
Rien, ça va trop vite
Je sais que je suis crédible zéro avec mon journal japonais.
Un mois et demi que je suis rentrée, tout ça. Y suis toujours un peu, sladit. Ce côté borderline que tu commences à connaître
my own private viewmaster
Et puis il y a aussi
la star
Atelier YAMANAMI, Shiga
Atelier YAMANAMI, Shiga