Interlude horticole
Il aime le « plop ! » que fait un arbre quand il le plante. Une forêt, c’est « plop ! plop ! plop ! plop ! plop ! plop ! plop ! plop ! plop ! plop ! plop ! plop ! plop ! plop ! plop ! plop ! plop ! plop ! plop ! »
Et puis après ils se reproduisent tout seuls.
En silence.
Philippe Annocque, Vie des hauts plateaux