C’est en écrivant qu’on devient écriveron…
Raymond Queneau
ou les côtés oulipiens cachés du chanteur, en duo avec Pierre Vassiliu en plus
(si le déroulement audio ne s’affiche pas, cliquer sur « audio » ou « listen »)
C’est en écrivant qu’on devient écriveron…
Raymond Queneau
ou les côtés oulipiens cachés du chanteur, en duo avec Pierre Vassiliu en plus
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Wight is Wight était pour moi White is white, ce qui ne me posait absolument aucun problème. C’était nos quinze ans me faisait pleurer par anticipation. Pour un flirt avec toi m’ouvrait un monde assez neuf – commencer « entre tes bras » pour finir « entre tes draps »… les grandes personnes, quand même !
Je portais des clarks. Ce qui ne m’empêchait pas de connaître par cœur les paroles de La fille avec des baskets. Jusqu’à la fin, je me souviendrai de cette chanson stupide et géniale.
Si le bar était français… Tout est à l’imparfait dans cette chanson parfaite. Me demande ce soir si Paul à son tour rendra hommage à notre chanteur.