Et s’il n’existait au fond qu’un seul livre, invisible au quotidien, dont les pages ne s’ouvriraient à nous que de temps à autre, pour nous délivrer un message en douce :
Là-bas, le chirurgien n’opère pas avec un scalpel mais des ciseaux avec lesquels il coupe les fils invisibles qui enchaînent le malade à sa maladie.
J’aimerais retrouver cette page du livre invisible.
Ou refaire ce rêve.