Au Japon, je me surprends à penser au Japon. Ce n’est pas toujours merveilleux. Je me rappelle Madoka, à Onohara, disant de son mari qui travaillait à la télé, Il m’a déçue. En France, nous sortions toujours ensemble mais depuis que nous sommes revenus ici, c’est terminé. Parfois, il ne rentre pas du tout. Le soir, s’il n’y a qu’un seul plat pour le dîner, les enfants ont compris : « Tiens, papa ne mange pas avec nous ce soir ».