Ta mère m’avait donné ce masque en me disant : ça me ferait plaisir que tu l’aies.
Bien vu.

Ta mère m’avait donné ce masque en me disant : ça me ferait plaisir que tu l’aies.
Bien vu.
Le petit terrain de sport à côté de chez nous s’est transformé en
comment dire
non pas en chaussurerie
quoique
mais en drôle de
jardin partagé
annoncé par diverses grolles
imagine mon émotion
Dis, à quoi tu penses ?
Je pense à toi.
À quoi tu penses ?
Je pense que le zèbre est un okapi qui a réussi.
Hervé Le Tellier, Les amnésiques n’ont rien vécu d’inoubliable
Pour te faire rire, où que tu sois.
Alors que je rédigeais hier des lettres administratives – il faut de la constance, believe me – devant une série lambda sur l’ordi, un personnage dit : « Bonne question » et au même moment, une voix dans mon smartphone répète : « Bonne question ».
Si c’est pas creepy…
Tu fus le premier à me parler de l’Afrique.
Vous aviez cela en commun avec Noémi. Quand tu nous as quittés, nous nous sommes retrouvées Noémi et moi devant des thés verts dans le jardin de la Mosquée, nous demandant : « Comment faire maintenant ? »
Tu avais un job à l’ambassade du Mali où tu recevais de malins Maliens. Voyant ton sang-mêlé, ils venaient vers toi avec assurance, Écoute, mon frère… et tu leur répondais, Écoutez, Monsieur, je suis pas votre frère… Ça nous faisait pleurer de rire.
Fela le grand, c’est aussi grâce à toi. Je crois que quand j’ai écouté pour la première fois WATER NO GET ENEMY, le ciel m’est tombé sur la tête.
Voici le lien pour la version originale et la pochette de mon vieux vinyl (était carrée ma pochette mais bon, les femmes sont là) :
La tête est une folle. Oublie tout, la tête. Toujours. On ne dira jamais assez combien la tête est oublieuse. Mais le cœur se souvient de tout. Heureusement qu’il est là lui, pour te rappeler pourquoi décidément, aujourd’hui, ça ne va pas plus que ça.
Brian Eno By this river
(si le déroulement audio ne s’affiche pas, cliquer sur « audio » ou « listen »)
Retrouvé la chanson écrite pour Souley au printemps 2001, un peu après sa disparition. Je n’avais jamais trop aimé le reggae jusqu’à ce que Souley me fasse découvrir Don’t kill the lion. Or, c’est bien une sorte de reggae que Takero me présenta cette année-là en me demandant d’écrire des paroles. Pardonne la voix d’oisillon intimidé et danse.
quelque chose comme ça
musique Takero Ogata (album Texture)
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