à louer 8 octobre 2015journaljardinplacide99 À observer dans le jardin les allées et venues à l’aveugle du tout jeune ramier (un ramereau ?), je crois comprendre qu’il a comme une écrevisse dans le vol-au-vent. Des salons à louer dans la tête, quoi. Entre azurés du serpolet, on se comprend. Partager:TwitterFacebookWordPress:J’aime chargement…