J’y lis souvent mais pas toujours. Ou bien il arrive que je lâche mon livre pour quelqu’un. Il y eut cette dame fatiguée, magnifique.

Ou bien, la semaine dernière, ce pensif assez merveilleux.
Vous êtes aujourd’hui un vieux monsieur qui brandissez une pancarte devant vous, et pas n’importe laquelle ; vous l’agitez au-dehors à chaque arrêt du métro. Vous n’arrêtez pas de bouger. Je lisais Villiers, impossible de me concentrer avec votre manège en face de moi. Il y a un moment où, à quoi bon lutter, il faut sortir l’antique cybershot, s’y reprendre à plusieurs fois – c’est flou. Clic. Vous voyez que je vous prends en photo. Nous nous regardons. Quand je sors, nous nous regardons encore.

Villiers, ce sera pour demain, promis.
Même qu’il y aura du champagne.