Choses qui sauvaient, il y a deux ou trois étés, j’avais noté : la dégaine de Toshirô Mifune, la diète du soir, la piscine du matin, la voix de Neil Hannon, le festival Kurosawa à la cinémathèque, le mot céladon, les balades, même courtes, à vélo, les verres de blanc à la terrasse du 51.
Choses qui sauvent, asteure : les visites du ramier et de son ramereau, les cordes de Jozef Van Wissem et SQÜRL, les balades, même courtes, au Père-Lachaise, l’apéro du soir et badigeon. Le mot badigeon. Je n’en reviens toujours pas.